Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Réunion de la Fédération Départementale 62 DLR

19/09/2009 08:27

Réunion de la Fédération Départementale 62 DLR


Réunion  de la Fération DLR.62 le 2 octobre 2009 à 19 H 00 à Arras. Outre la nommination des délégués de circonscriptions pour 2009/2010, la réunion sera surtout axé sur notre future engagement dans les éléctions régionales à venir.





L’euro critiqué de toutes parts...

19/09/2009 08:16

L’euro critiqué de toutes parts...


Le bien-pensant qui critique l’euro
Par Laurent Pinsolle
Christian Saint Etienne est un économiste reconnu, partisan d’une Europe fédérale et de la mondialisation. Pourtant, dans son dernier ouvrage, il attaque l’euro d’une manière radicale.
Un bilan désastreux
Pour lui, l’euro accentue les divergences entre ses pays membres. Pire, l’Europe « est devenue une zone de non-croissance relative dans le monde au sein de laquelle l’Allemagne conduit une politique de désinflation salariale compétitive ». Elle fait de « ses prétendus citoyens (…) des gladiateurs dans le cirque de la concurrence fiscale et sociale alors que les bêtes fauves surgissent de toutes parts ».
Plus mordant, pour lui, « la tortue européenne nage sans carapace dans la mer en prétendant que les requins sont des poissons rouges. Les poissons rouges n’hésiteront pas à porter l’euro à deux dollars pour sortir plus vite de la crise, même si cela doit dévaster des pans entiers de l’économie européenne, et à déverser leur surplus de production en Europe, dont le marché est ouvert à tout vent ».
La zone euro n’est pas une Zone Monétaire Optimale
Il démontre une à une toutes les carences de l’euro. Tout d’abord, il souligne que « la monnaie est l’une des trois manifestations de la souveraineté d’une nation libre » et que « les trois millénaires d’histoire économique montrent qu’il ne peut pas y avoir de divorce durable entre souveraineté monétaire et souveraineté politique ». L’euro sans fédéralisme n’est donc pas tenable.
Deuxièmement, il souligne que la zone euro n’est pas une Zone Monétaire Optimale. Il s’appuie sur la théorie du prix Nobel d’économie Robert Mundell, soulignant le manque de mobilité des travailleurs au sein de la zone et de fédéralisme fiscal. Il note également que les politiques économiques suivies sont divergentes et que les préférences nationales restent également très différentes. Seul point en faveur de l’intégration monétaire : le niveau élevé des échanges commerciaux au sein de la zone.
Les conséquences désastreuses de l’euro
Mais il y a pire : l’euro introduit des mécanismes pervers. Pour lui, « l’introduction de l’euro a accentué les divergences entre les performances de quelques nations qui ont su en tirer le meilleur parti, et celles des nombreux pays qui n’ont pas été capables de s’adapter à la nouvelle donne ». L’euro pousse à une concurrence non solidaire entre les pays, renforcée par le biais ultralibéral des institutions européennes.
L’Allemagne a ainsi construit son nouveau modèle sur une plus grande compétitivité salariale que ses partenaires en bloquant les hausses de salaires (+2% de 1999 à 2007, contre +17% en France, +23% en Italie et +26% en Espagne), quitte à déprimer sa demande intérieure et sa croissance (la plus faible d’Europe depuis 1999). L’Irlande a construit le sien sur une plus grande compétitivité fiscale. Et la Grande-Bretagne, en dehors de l’euro, peut recourir à la dévaluation pour se relancer.
Bref, l’unification monétaire pousse à des comportements qui ont fait de la zone euro « une zone de faible croissance et d’iniquité croissante ». Pire, l’envolée de l’excédent allemand s’est fait principalement au sein de la zone euro et contre ses partenaires. Du coup, le commerce extérieur a eu une contribution négative annuelle de 0,45 point à la croissance de la France de 2002 à 2008 et de 0,9 point en Espagne.
 
Retrouvez la suite de ce billet sur le blog de Laurent Pinsolle





Grève du lait : le gouvernement doit aider les producteurs au lieu de les stigmatiser

19/09/2009 08:07

Grève du lait : le gouvernement doit aider les producteurs au lieu de les stigmatiser


COMMUNIQUE DE PRESSE
Grève du lait : l’indignation indigne du ministre de l’Agriculture
Le ministre de l’Agriculture a décidé de traiter par le mépris le désespoir des producteurs laitiers français et européens, qui ont lancé la grève du lait.
Mr. LE MAIRE se scandalise de ce que de grandes quantités de lait soient déversées dans le cadre de cette protestation, alors que de « nombreux Européens souffrent de malnutrition ». Connaissant la souffrance de ces agriculteurs, qui « se lèvent tôt » chaque jour de l’année mais produisent à perte à cause de la politique ultralibérale de l’UE, ne devrait-il pas en l’occurrence se dire choqué que l’Europe est incapable de faire vivre décemment sa filière laitière ?
Le double jeu du gouvernement, qui pleure en France sur le sort des producteurs tout en laissant faire à Bruxelles la politique d’euthanasie de la filière voulue par Mme FISCHER BOEL et Mr. BARROSO, dépasse toutes les bornes. C’est l’indignation de Mr. LE MAIRE qui est indigne !
Ainsi que je le réclame avec de nombreux acteurs et organisations professionnelles de la filière laitière depuis des mois, il faut au plus vite que l’Etat cesse de mener en bateau les producteurs et prenne enfin ses responsabilités, en fixant lui-même un prix du lait qui permette une rémunération décente à ces derniers.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Les électeurs du 29 mai 2005, 4 ans plus tard

18/09/2009 13:46

Les électeurs du 29 mai 2005, 4 ans plus tard


Constitution européenne : où sont les nonistes ?
Les résultats médiocres obtenus aux européennes par les listes ayant porté le non en mai 2005 pourraient laisser croire que les Français s’accommodent de l’Europe actuelle. Il s’agit d’un trompe-l’œil. Depuis le référendum, tout a été fait pour nier le refus du peuple français d’une construction européenne fondée sur l’inégalité, l’argent-roi et la soumission aux puissances.
Or, nos concitoyens ne veulent plus de cette Europe. Ainsi, tous les partis dominants ont fait campagne pour son changement, le président de la République lui-même multipliant bravades et discours incantatoires, en contradiction avec sa politique et celle de ses prédécesseurs. Face à ce hold-up démocratique, les partis opposés aux dérives bruxelloises étaient à bout de souffle, sans que les formations nouvelles comme Debout la République aient pu s’enraciner dans le paysage politique. D’où l’abstention massive du 7 juin.
Hélas, le nœud coulant bruxellois continuera de se resserrer autour de notre démocratie, de nos services publics et de notre indépendance nationale, ce qui se traduira par la résurgence de l’esprit de mai 2005 : une Europe qui respecte les démocraties nationales, qui protège les emplois, qui garantit les droits sociaux, et qui conjugue les identités culturelles.
NDA
 
Retrouvez cette tribune et le dossier spécial de Libération sur son site.





Réforme pénitentiaire, démission pénitentiaire

18/09/2009 13:42

Réforme pénitentiaire, démission pénitentiaire


L’Assemblée nationale a commencé avant-hier à examiner la réforme pénitentiaire, replaçant au cœur du débat l’une des préoccupations majeures et légitimes des Français : la sécurité publique. Ne nous voilons pas la face, ce projet de loi porté par Michèle Alliot-Marie n’est pas bon et suscite de multiples craintes, qui paraissent hélas fondées. Je l’affirme ici avec la même liberté et la même franchise qui m’avaient conduit, au début du quinquennat, à soutenir la création des peines-plancher, effectivement indispensable pour enrayer la spirale de la délinquance, notamment des jeunes.
Le projet d’aujourd’hui vise, selon ses initiateurs, à apporter toute une série d’améliorations au système pénitentiaire, aussi bien pour l’humaniser que pour le rendre plus efficace.
Mais, avec les syndicats policiers comme certaines associations militant pour une justice protégeant davantage nos concitoyens, je suis obligé de constater que ce projet ne se contente pas d’ignorer la question centrale – le manque criant de moyens de la justice en France, moitié moindres par habitant qu’en Allemagne et en Grande-Bretagne – mais encore qu’il cherche, l’air de rien, à atténuer le problème de la surpopulation carcérale en remettant en liberté des milliers de condamnés à des peines courtes !
Ainsi, concrètement, les Juges d’Application des Peines (JAP), pourraient exempter de peine d’incarcération les personnes condamnées jusqu’à deux ans de prison, ce qui correspond à des condamnations pour des faits graves de violences aux personnes, d’agression sexuelle, etc. D’une manière générale, ce sont les faits de « petite délinquance », celle qui pourrit les cités et terrorise les quartiers qui seraient les premiers concernés et pour lesquels des peines de substitution (port de bracelet électronique, assignation à domicile, travaux d’intérêt général) seraient désormais systématiquement appliquées, renvoyant dans la nature les délinquants.
Un condamné à 2 ans de prison ferme ? Il ne passerait pas un seul jour derrière les barreaux, s’en tirant avec 9 mois de port de bracelet électronique suivis d’une libération conditionnelle ou de travaux d’intérêt général… Un condamné à 3 ans de prison ferme ? Il resterait au plus 9 mois dans un établissement pénitentiaire, avant d’en sortir avec un bracelet qu’il garderait pendant 6 mois, puis la libération conditionnelle (soit 15 mois de peine effective au lieu de 36 !).
Face à l’engorgement des tribunaux et à la surpopulation carcérale, la Garde des Sceaux avait admis en juin que, en France, pas moins de… 82000 condamnations à des peines de prisons n’étaient pas exécutées à cette date ! Mais pour commencer à résoudre le problème, quelle est la réponse du gouvernement ? Construit-il les prisons qui manquent, fournit-il aux tribunaux les moyens enfin décents de rendre la justice ? Non, il s’apprête à désengorger les établissements pénitentiaires en exemptant d’incarcération - ou en en réduisant substantiellement la durée - des délinquants à qui un gravissime message d’impunité va ainsi être envoyé ! Et que l’on ne vienne pas nous dire que cette généralisation des aménagements de peine va permettre de faire diminuer la récidive : il est bien évident que cette corrélation ne vaut que pour une population carcérale motivée par l’idée de la réinsertion et dont la libération conditionnelle n’est pas automatique.
Ajouté à cela un certain laxisme judiciaire, appliqué aux délits les moins graves jamais puni par l’emprisonnement (alors que la loi le permettrait), la réforme pénitentiaire risque en réalité d’accroître dramatiquement l’insécurité quotidienne dont souffrent les Français. Les syndicats des forces de sécurité publique s’en alarment à juste titre, dénonçant une politique incohérente de la chaîne pénale, qui met sous pression maximale une police et une gendarmerie dont on baisse les effectifs, tout en démissionnant lorsque ces dernières réussissent à traîner les délinquants devant les juges… Qu’est-ce donc que cette justice à deux vitesses, l’une, visible, au tribunal correctionnel, qui fait mine de condamner pour rassurer les Français, l’autre, bien plus discrète, exercée par les JAP, qui relâchent prématurément les délinquants ?
Hélas, cette contradiction flagrante semble résumer la politique du gouvernement, aussi bien dans ce domaine que dans bien d’autres : par devant, montrer les muscles, communiquer sur la reprise en main de tel ou tel service de l’Etat, faire voter des lois fermes (peines-plancher, etc.), et par derrière, laisser le désordre s’aggraver, exposant les Français à des maux auxquels, en réalité, on a renoncé depuis bien longtemps à s’attaquer sérieusement.
Face au tollé provoqué par son projet de loi, Michèle Alliot-Marie semble vouloir atténuer le laxisme des aménagements de peines qui y sont prévus. Attendons donc de voir quelles mesures précises seront proposées au Parlement mais, vous pouvez compter sur moi, je ne voterai jamais un texte aggravant le laxisme judiciaire.
NDA






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